Dans les campagnes mexicaines, la polvadera signifie la poussière qui s’élève du sol lors des danses populaires. C’est aussi le nom que ce groupe toulousain qui réunie quatre musiciens amoureux du patrimoine musicale d’Amerique latine.

L’envie du groupe est de produire un son au timbre authentique par l’emploi d’instruments traditionnels, et de donner résonance aux mots et à l’esthétique du Son jarocho ; Un répertoire venu du Mexique qui s’est nourri d’influences européennes, africaines et indigènes durant l’époque coloniale, véritable patrimoine d’une culture « afromeztiza ».